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D'Est de Chantal Akermann.

- pour ses longs plans séquences d'une Russie après la chute du mur de Berlin. Visages durs d'un peuple plein d'histoires et de traumatismes.

- pour ces déplacements de caméra dont on devine les longues marches de la réalisatrice. Une caméra qui implique le corps comme les corps se déplacent dans mon projet en quête ou en fuite du volume/témoignage.

Shoah de Claude Lanzmann

- pour son absence d'archives.

- pour sa démarche de ne faire exister le passé que dans le présent et par la parole.

- L'importance des mots qui font naitre des images.

- Le poids de l'absence d'images et d'archives du passé, une absence pesante comme un fantôme.

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